La torture des seins fait partie des pratiques BDSM dans la catégorie des « Femmes seules ». Cette activité sexuelle est perçue comme étant une torture inconcevable pour une femme. Néanmoins, elle peut être une source d’excitation, tant pour la femme que pour son maître. Serez-vous séduit-e par cette pratique ?
Si vous n’avez jamais entendu parler de la torture des seins, nous allons vous mettre dans le bain. Si les hommes ont le Ballbusting, les femmes ont ça. Vous êtes prêt-e ?
La torture des seins : c’est quoi ?
Vous adorez les rapports de force et vous cherchez de nouveau plaisir. Arrêtez-vous là. Et découvrez une pratique qui saura vous donner des sensations fortes. La torture des seins est une activité sadomasochiste qui vise à soumettre une personne. Vous savez que le BDSM est connu comme une pratique sexuelle qui utilise les douleurs physiques pour assouvir son désir et atteindre l’orgasme.
Sachez ainsi que la torture des seins a pour but que le dominant va manipuler douloureusement les seins d’une femme. La femme prendra du plaisir dans sa douleur. L’homme, quant à lui, va aussi être gratifié sexuellement, en regardant sa partenaire souffrir par ses actes. Vous en savez un peu plus maintenant. Allons plus loin.
Brève historique de la torture des seins
Si vous pensez plaisir, apprenez que cela n’a pas toujours été le cas pour cette pratique. Avant J.C, la torture des seins avait pour but de punir les femmes. C’est au fil du temps qu’elle a été considérée comme étant une pratique sexuelle hors du commun. En associant la douleur et le plaisir, la torture des tétons est devenue un acte BDSM. Ainsi, le Kamasutra a déclaré que la torture des seins est un jeu érotique, qui vise à rendre douloureux les seins pour le plaisir du dominant et du dominé. Actuellement, la torture des seins est encore mal vue par plusieurs personnes. En effet, la majorité d’entre elles ne sait pas les avantages que cette pratique peut apporter au couple et à soi-même. Face à ces jugements, la torture des seins n’a pas trop sa place dans les ébats sexuels. Comme les pratiques BDSM commencent à apparaître sur nos écrans, les gens commencent à découvrir ce que c’est la torture des seins. Et pourquoi pas l’adopter petit à petit ?
Règles de base du BDSM
Avant de faire n’importe quelle pratique BDSM, la torture des seins y compris, il faut que les adultes soient consentants. N’oubliez pas ce détail, il est important. Ce consentement est verbal, se base sur la confiance de son partenaire. Mais il est plus préférable que cet accord soit appuyé par un contrat écrit. Vous pouvez vous demander pourquoi un couple va signer un accord comme s’ils étaient deux parfaits inconnus ? Le principe du masochisme est basé sur un contrat de confiance. Sans cela, vous ne pouvez pas pratiquer la torture des seins. C’est le rôle de la femme d’accepter ou de modifier les clauses écrites par le dominant. Et c’est ensuite au maître de les modifier ou de négocier pour arriver à un terrain d’entente.
Qui sont les pratiquants de la torture des seins ?
Dans la plupart des cas, ce sont les couples libéraux qui font des pratiques masochistes. Vous observerez qu’ils sont plus attirés par les pratiques qui sortent de l’ordinaire. En même temps, ils n’éprouvent plus de la gêne ou de l’humiliation, car ce sont ces activités qui leur procurent du plaisir. Outre cela, le fait d’avoir mal augmente également leurs envies.
Il y a également des couples qui aiment les activités sexuelles en étant plusieurs. La torture des seins peut être le thème d’une soirée BDSM pour ce type de couple.
Par ailleurs, ne pensez pas que la torture des seins est uniquement réservée aux femmes. Vous pouvez la retrouver chez les gays. En effet, plusieurs gays sont très attirés par les pratiques du BDSM. En se faisant torturer les tétons, ils éprouvent un tout autre plaisir.
Comme nous le disons toujours, le BDSM ne veut pas forcément dire que l’homme est toujours le dominant. Imaginez que la femme peut aussi être la dominatrice. Vous pouvez donc pratiquer la torture des seins en étant une dominatrice amatrice ou professionnelle. Vous inversez ainsi un peu les rôles, en vue de vivre une excitation hors du commun.
Comment se déroule la torture des seins ?
On assimile cette pratique à une torture sexuelle. On la considère comme une punition que le dominant va infliger à sa soumise. Cette dernière peut avoir désobéi à son maître ou n’a pas suivi ses ordres. Elle mérite alors comme châtiment la torture des seins. Le dominant va alors manipuler douloureusement les seins de sa soumise.
Vous pouvez alors utiliser des machines et des outils pour apporter plus de douleur. Vous libérez ainsi de l’endorphine, votre soumise va avoir du plaisir à être punie par son maître. Apprenez que c’est cette douleur qui est la source d’excitation pour les deux parties. La femme doit apprendre à aimer la douleur, et le dominant doit savoir tirer profit de la douleur de sa soumise. Ainsi, grâce à la torture des seins, le dominant et le dominé peuvent ensemble atteindre le plaisir suprême.
Outre le fait que le plaisir provienne de la douleur physique, vous pouvez observer des facteurs psychologiques. Pour être plus clair, l’homme prend du plaisir à contrôler les ébats sexuels et à donner des ordres à sa soumise. Il se sentira comme le « maître du monde », car il a le rôle principal dans cette pratique sexuelle. La femme, quant à elle, elle prendra du plaisir à être contrôlée et à être sous l’emprise de quelqu’un. Elle peut alors se donner totalement à son partenaire. Ce sont ces facteurs émotionnels qui rendent la douleur comme un plaisir.
Si vous avez déjà testé cette pratique, vous savez de quoi on parle.
Conclusion
Nous pouvons alors conclure que la torture des seins est une pratique sexuelle anodine. Les personnes « classiques » ne portent pas trop cette activité dans leur cœur, car pour elles, elle n’est pas source de plaisir, mais de douleur extrême. Toutefois, vous devez bien connaître la torture sexuelle, afin d’éviter tous ces jugements hâtifs. Ce jeu érotique est très intéressant. Car il peut conduire à un plaisir extrême, tant pour le dominant que pour le dominé.